(LA)HORDE
Ballet national de Marseille
Bousculer les codes
Le collectif (LA)HORDE et l’époustouflant Ballet national de Marseille électrisent la scène dans une folle cavalcade futuriste, qui fusionne danse et culture numérique. Un des temps forts de la saison !
Contient des thèmes matures (violence, contenu sexuel), des effets stroboscopiques et de la musique forte.
Les projecteurs se sont braqués sur (LA)HORDE, le trio à la tête du Ballet national de Marseille depuis 2019, qui fait sensation avec des spectacles post-punk et engagés. Les influences de la mode, des univers immersifs et de la culture des clubs y sont omniprésentes. Explorant la place de l’humain à l’ère des contenus et de l’autopromotion permanente, (LA)HORDE propulse sur scène une troupe de 18 interprètes à l’intensité phénoménale. Dans un espace-temps déconstruit, les frontières entre corps réels et corps virtuels deviennent poreuses. Convoquant au passage scènes de combat tirées de films d’action, cascades, comédies musicales, jeux vidéo en monde ouvert, danse postmoderne et challenges chorégraphiques de TikTok, Age of Content culmine en un final éblouissant. Une déferlante d’énergie brute qui frappe en plein plexus.
Artiste(s)
Fondé en 2013, (LA)HORDE réunit trois artistes : Marine Brutti, Jonathan Debrouwer et Arthur Harel. La danse est au cœur de leur travail et autour d’elle, le collectif développe des pièces chorégraphiques, des films, des performances et des installations.
Compagnie
En 1972, Gaston Deferre propose au chorégraphe Roland Petit de venir installer à Marseille sa compagnie – qui rayonnait alors en France et dans le monde entier – afin de redynamiser l’Opéra municipal de la ville. Roland Petit accepte et crée le Ballet de Marseille qu’il ancre dans la modernité chorégraphique des années 1970-1980.
Crédits
Conception, mise en scène (LA)HORDE — Marine Brutti, Jonathan Debrouwer, Arthur Harel.
Chorégraphie (LA)HORDE en collaboration avec les danseur·euse·s et les répétiteur·rice·s du Ballet national de Marseille.
Avec les danseur·euse·s du Ballet national de Marseille Nina Auerbach, Isaïa Badaoui, Alida Bergakker, Arno Brys, Joao Paulo De Castro Franca, Isla Clarke, Pierpaolo Cosentino, Titouan Crozier, Nathan Gombert, Jonathan Myhre JØrgensen, Yoshiko Kinoshita, Yen Lung-Ssu , Dana Pajarillaga, Kevin Pajarillaga, Aya Sato, Gabriella Sibeko, Eden Solomon, Elena Valls Garcia, Luca Völkel, Layne Willis.
Scénographie Julien Peissel.
Musique Pierre Avia, Gabber Eleganza, Philip Glass.
Son façade Jonathan Cesaroni.
Création lumière Eric Wurtz.
Costumes Salomé Poloudenny.
Création coiffure Charlie Le Mindu.
Visuel toile Frederik Heyman.
Après nous avoir offert un Hamlet entre danse et théâtre aux côtés de Robert Lepage, le chorégraphe Guillaume Côté met le feu aux poudres dans sa toute nouvelle création pour neuf interprètes.
Animé par l’assistante aux répétitions de Côté Danse, Kelly Shaw, cet atelier propose aux danseur·se·s une introduction au style de mouvement de la compagnie.
Dans un feu roulant d’énergie, 17 artistes du monde entier déploient un élan collectif saisissant. Sol Invictus est une déclaration d’amour universelle à la danse.
Prisé par les publics de tous les horizons, Ballets Jazz Montréal s’illustre à nouveau avec une création captivante signée Jo Strømgren, figure prolifique des arts de la scène internationaux. D’une créativité sans limite !
Dans l’intimité de la Salle Bourgie, Diana León et Paco Ziel s’emparent des lieder de Schubert, sommet de sincérité et de beauté, pour instaurer une synergie féconde entre musique, danse et poésie.
Neuf interprètes, neuf percussionnistes, neuf batteries. Manifesto vous emporte dans une vague irrésistible, qui célèbre la joie brûlante d’être en vie, insufflant une bouffée d’optimisme salutaire.